Poupée Daruma en bois japonaise antique de qualité fine / détaillée BUDDHISME

  

Détails très fins (voir la barbe de visage consommatrice de temps). De belles veines de bois partout.

3,25 "T x 3" L. En très bon état général, mais veuillez noter les deux petites taches de décoloration en haut à gauche de la zone du visage.

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Apprenez comment et quand supprimer ce message modèle. Est une poupée traditionnelle japonaise creuse et ronde. Bien que ces poupées soient généralement rouges et représentent le moine indien, Bodhidharma. Varié grandement en couleur et en design en fonction de la région et de l'artiste. Bien que considéré comme un jouet par certains, Daruma a un design riche en symbolisme et est davantage considéré comme un talisman de bonne chance pour les Japonais.

Les poupées Daruma sont considérées comme un symbole de persévérance, ce qui en fait un cadeau d'encouragement populaire. La poupée a également été commercialisée par de nombreux temples bouddhistes pour être utilisée aux côtés de la fixation d'objectifs.

Cette section nécessite une expansion. Vous pouvez aider en y ajoutant. Le propriétaire sélectionne un objectif ou un souhait et peint dans l'œil gauche des deux yeux de la figure avec de l'encre chinoise ou japonaise. Une fois l'objectif atteint, l'œil droit est rempli.

Qui a vécu au 5ème/6ème siècle EC. Il est traditionnellement crédité comme le transmetteur de Ch'an. Peu d'informations biographiques contemporaines sur Bodhidharma sont encore existantes, et les récits ultérieurs sont devenus entremêlés de légendes. Selon une tradition, Bodhidharma s'est fait une réputation pour, entre autres choses, sa pratique de regarder un mur.

La légende prétend qu'il était assis face à un mur en méditation. Pendant une période de neuf ans sans bouger, ce qui a provoqué la chute de ses jambes et de ses bras par atrophie. Une autre légende populaire prétend qu'après s'être endormi pendant sa méditation de neuf ans, il s'est mis en colère contre lui-même et a coupé ses paupières pour éviter de s'endormir à nouveau.

Selon les principales sources chinoises, Bodhidharma venait des régions occidentales. Qui fait référence à l'Asie centrale mais peut également inclure le sous-continent indien.

Et était soit un "Asio-centro-persan" ou un Sud-Indien. Le troisième fils d'un grand roi indien. Bodhidharma est représenté comme une personne non chinoise, irascible, barbue et aux yeux exorbités. Il est appelé "Le barbare aux yeux bleus" chinois. Un moule en bois pour un Maneki-neko en papier mâché.

Et une figurine Daruma Okiagari-Koboshi de l'époque Edo, 18ème siècle. Le symbolisme populaire actuel associé à Daruma en tant que porte-bonheur a en partie trouvé son origine au temple Shorinzan Daruma.

Dans la ville de Takasaki. Josef Kyburz, auteur de "Omocha": Choses à jouer (ou pas à jouer) avec, a expliqué que le fondateur de Daruma-Dera dessinerait des porte-bonheur du Nouvel An représentant Bodhidharma. Les paroissiens gardaient ces porte-bonheur pour "apporter le bonheur et la prospérité et éviter les accidents et les malheurs".

On croit que la figurine Daruma a alors trouvé son origine dans cette région lorsque le neuvième prêtre, Togaku, a trouvé une solution pour gérer les demandes constantes des paroissiens de nouveaux porte-bonheur. Les porte-bonheur étaient toujours donnés avec une efficacité d'un an, de sorte que les gens en demandaient de nouveaux chaque année. Il a résolu cela en confiant aux gens la fabrication de leurs propres porte-bonheur Daruma au début de l'ère Meiwa. Le temple a fabriqué des moules en bloc de bois pour que les gens les utilisent.

Les paysans ont ensuite utilisé ces moules pour fabriquer des porte-bonheur en papier mâché tridimensionnels. Kyburz note que bien qu'il soit inconnu quand la figurine Daruma s'est associée à la poupée basculante. Les deux étaient bien reconnus comme synonymes au milieu du 19ème siècle.

La poupée a rapidement gagné en popularité, devenant la mascotte de la région. Cela était dû en grande partie au fait que la majorité des familles étaient des éleveurs de vers à soie, une culture qui nécessite beaucoup de chance pour réussir. Il y a un festival annuel de la poupée Daruma. Organisé par la ville de Takasaki pour célébrer le lieu de naissance proclamé de la poupée Daruma.

La célébration a lieu au Shorinzan, le nom du "Daruma-Dera" de Takasaki. Takasaki produit 80% des poupées Daruma du Japon. Le festival comprend également une lecture de sutras de 24 heures par les moines de Shorinzan pour la paix mondiale. Poupées Daruma au Shorinzan Daruma-ji, Takasaki. La conception de Daruma, en particulier la forme, la couleur, les yeux et la barbe, a chacune son propre histoire et sa signification symbolique. Les Darumas sont généralement fabriqués en papier mâché, ont une forme ronde, sont creux et pondérés en bas de sorte qu'ils reviennent toujours en position verticale lorsqu'ils sont renversés. En japonais, un jouet à bascule. Est appelé okiagari, signifiant se lever (oki) et se lever (agari).

Cette caractéristique est devenue le symbole de la capacité à avoir du succès, à surmonter l'adversité et à se remettre des malheurs. Dans la culture populaire japonaise, sur des cartes, des bannières et des livres, Daruma est souvent illustré avec la phrase "Nanakorobi Yaoki". , traduit par "sept fois en bas, huit fois en haut". Alors que certaines poupées Daruma traditionnelles ont des bases plates, le Sankaku ou Triangle Daruma. Est construit à partir d'un cône en carton roulé attaché à une base en argile arrondie de sorte qu'il se tienne toujours droit lorsqu'il est incliné.

Le style de la poupée basculante est similaire à un jouet antérieur appelé Okiagari Koboshi. Un petit moine qui se redresse tout seul qui était populaire dans la région du Kinki. Région au milieu du 17ème siècle. Le jouet okiagari original, cependant, aurait été introduit de la Chine des Ming. Poupées Daruma rose néon non traditionnelles à Ibaraki.

Bien qu'il ne soit pas certain, l'origine de la coloration rouge traditionnelle de Daruma vient probablement de la couleur des robes de prêtre. Il est difficile de trouver des sources fiables en anglais, mais un site Web basé au Japon cite ce rouge comme étant la couleur de la robe d'un prêtre de haut rang.

L'auteur conclut alors que puisque Daruma était le fondateur de la secte Zen, il devait porter une robe rouge. L'historien de l'art James T. Ulak a documenté une histoire de représentations de Bodhidharma portant des robes rouges somptueuses, avant les représentations de lui en tant que poupée, dans un article intitulé Oeuvres japonaises à l'Institut d'art de Chicago. En vertu de ses robes rouges, Daruma est devenu un moyen de se remettre de la maladie.

Pendant la fin de l'époque d'Edo. Rotermond, auteur de Affliction démoniaque ou maladie contagieuse? Décrit qu'à Edo et dans les villes environnantes, il y a eu de nombreuses épidémies de rougeole et de variole.

De nos jours, il existe de nombreux sanctuaires rouges dédiés à un dieu de la variole, qui avait un goût particulier pour le rouge. Ces sanctuaires ont été construits en réponse à ces épidémies.

Croyant que le dieu de la variole, s'il était satisfait, épargnerait l'enfant malade, les Japonais étiraient souvent des cordes autour de la maison tendues de bandes de papier rouge, faisaient porter une robe rouge à l'enfant et fabriquaient un petit autel pour le dieu afin de mettre des figurines de Daruma en forme de talisman dessus. Ces précautions étaient également utilisées pour avertir les autres que la maladie était dans la maison, et pour encourager la propreté autour des malades.

Le rouge de Daruma, cependant, était utilisé pour apaiser le dieu, tandis que l'image de l'okiagari était pour encourager le patient à se remettre aussi rapidement qu'il est tombé malade. De nos jours, on peut également trouver des daruma dans des couleurs autres que le rouge, y compris l'or, censées apporter de la chance dans les affaires financières. Une poupée Daruma avec un œil rempli pour souhaiter. Greer, auteur de Daruma Eyes, a décrit les "yeux blancs ronds symétriques surdimensionnés" comme un moyen de suivre les objectifs ou les grandes tâches et de les motiver à travailler jusqu'au bout.

Le destinataire de la poupée remplit un œil lors de la définition de l'objectif, puis l'autre lors de sa réalisation. De cette manière, à chaque fois qu'ils voient le Daruma à un œil, ils se souviennent de l'objectif. Une explication sur la façon dont cette coutume a commencé dit que pour motiver Daruma-san à exaucer votre vœu, vous promettez de lui donner une vue complète une fois l'objectif accompli. Cette pratique pourrait également avoir quelque chose à voir avec l'"éveil", la réalisation idéale du bouddhisme. Cette coutume a donné lieu à une phrase en japonais traduite par "Les deux yeux ouverts".

En référence à "ouvrir" le deuxième œil, il exprime la réalisation d'un objectif. Un exemple de cela est les politiciens pendant la période électorale. Cette pratique a été mise en évidence dans un article de 1967 dans le magazine Time. La semaine dernière, au siège de Tokyo du Parti libéral-démocrate au pouvoir au Japon. Plongea un pinceau de sumi dans une pierre à encre et avec des coups rapides, barbouilla l'œil droit sombre de son Daruma.

Les yeux », remarqua-t-il lorsqu'il eut fini, "sont aussi grands que les miens. Est produit avec les yeux déjà peints, dans le but de veiller sur le ménage d'une famille. Qui transporte les Sept Dieux du Bonheur. La barbe de Daruma est une représentation symbolique des animaux bien connus dans la culture asiatique pour incarner la longévité : la grue et la tortue. Les sourcils sont en forme de grue, tandis que les poils des joues ressemblent à la coquille de la tortue. Un site Web basé au Japon affirme qu'à l'origine, il y avait un serpent ou un dragon représenté à travers la moustache et les joues, mais a été changé en tortue pour souligner le désir de longévité. De cette façon, Daruma a été conçu pour correspondre au proverbe japonais "La grue vit 1000 ans, la tortue 10 000 ans". , a lieu une fois par an, généralement juste après le jour de l'An.

Les événements les plus renommés ont lieu au temple Nishi-Arai Daishi. Lors de ces événements, les gens apportent les figurines Daruma qu'ils avaient utilisées cette année au temple. Toutes les anciennes figurines Daruma sont brûlées ensemble dans le temple. Après une exposition solennelle de l'entrée des moines, la lecture des sutras et le soufflage des cornes, les dizaines de milliers de figurines sont ensuite mises à feu. Les poupées Daruma se présentent également sous la forme de la princesse Daruma.

Ce qui contraste grandement avec les représentations traditionnelles de Bodhidharma, qui, crédité comme le père de nombreux arts martiaux, a traditionnellement été représenté comme très masculin avec une barbe rugueuse. Neill McFarland, professeur de théologie, discute des représentations féminines de Bodhidharma dans son article Motifs féminins dans la symbolique de Bodhidharma au Japon. La réponse à cette anomalie réside dans les changements sociaux de l'époque, qui se développent pendant la période d'Edo.

Les distinctions de classe plaçaient les marchands au bas de l'échelle, qui à leur tour développaient leur propre culture axée sur l'humour et se moquaient de ce que ceux de classe supérieure tenaient pour sacré. Cela est évident dans la représentation de Bodhidharma en tant que prostituée, car les prostituées affichaient la même résilience "okiagari".

Des pièces d'art célèbres représentant Bodhidharma ont également été redessinées avec une femme à sa place. Avec l'avènement de la poupée Daruma, la poupée Onna Daruma a rapidement suivi. Bien que les exemples susmentionnés de motifs féminins de Bodhidharma étaient satiriques, les formes des poupées conservent la même image saine d'un porteur de bonne chance. Le personnage Daruma, le marteau et les pièces colorées de l'arc-en-ciel.

De nombreux jeux pour enfants mentionnent Daruma. En japonais, les bonshommes de neige sont appelés "Yukidaruma" japonais. Peut-être parce que la forme est liée à Daruma, ils n'ont généralement que deux sections au lieu de trois.

Est l'équivalent du jeu américain Red light/Green light. Est un jeu traditionnel joué avec une poupée daruma en cinq pièces, généralement dans les couleurs de l'arc-en-ciel, de haut en bas : tête - visage d'homme, bleu, vert, jaune, rouge. Le jeu consiste à utiliser un petit marteau pour frapper chacune des pièces colorées, du bas vers le haut, sans laisser tomber les pièces pendant le jeu. Darumaka et Darmanitan sont basés sur la poupée Daruma. Dans le manga Dieux obligatoires.

Une poupée Daruma oblige une classe de lycée à jouer à Daruma-san ga koronda. Dans lequel les élèves doivent appuyer sur le bouton de son dos pour gagner.

Être attrapé par la poupée entraînerait la mort.